Les jus de fruit ou le marketing ? Difficile de dire ce que je préfère chez Innocent. Ce qui est certain, c’est que depuis les grands paquets de céréales de mon enfance (je mangeais des Smacks ou des Frosties et il y avait toujours au dos de la boîte un jeu et/ou un texte « amusant » du genre « Sais-tu pourquoi les singes mangent des bananes ? » ), mes yeux embués de sommeil ne savaient plus trop quoi lire à l’heure du petit déj’.
Heureusement, les briques (de smoothies) et les bouteilles (de jus d’orange, c’est tout nouveau) Innocent proposent plus de textes que certains magazines féminins. Avec un ton gentiment décalé – plutôt calibré pour les bobos qui doivent former le coeur de cible de la marque, mais qui ne manquera d’arracher un sourire même au moins second degré des buveurs de smoothie ananas-passion… Alors, voilà je l’ai dit, Innocent vient de sortir une gamme de pur jus de fruits, qui vient compléter ses fameux smoothies. Or, figurez-vous qu’il faut 11 oranges du Brésil pour remplir l’une de leurs précieuses bouteilles. Drôle de coïncidence… il ne restait à Innocent qu’à raconter l’histoire de cette équipe de foot brésilienne coincée dans une bouteille. On est loin des jus de fruits quand même non ? C’est ce qu’on appelle du storytelling.
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commentaires
11 oranges = 900ml pile poil
Soit c’est une nouvelle loi universelle qui doit s’ajouter à celles de la gravité ou de la constance de la vitesse de la lumière, soit il y a un peu de foutage de gueule.
Je me pose la question. 🙂
Je n’ai pas la réponse. Ceci dit, la question se pose aussi pour les sacs d’orange pré-rémplis du supermarché qui font pile-poil 1,000 kg
J’ai une bouteille juste en face de moi, 900ml pile poil, le compte est bon, on ne se fout pas de notre gueule 🙂
(pas pour faire de la pub mais le jus innocent est vraiment bon !)
Ca me semble plus compliqué techniquement mais s’ils le font réellement, chapeau ! (même si pour une simple justification marketing, ça me semblerait étonnant d’avoir adapté toute une chaine de production)