Kobo : kezako ?

On parle beaucoup des « liseuses » en ce moment ; il paraît même que ces petites tablettes consacrées exclusivement à la lecture seront LE cadeau de Noël 2011. Pour tout vous dire, j’ai fêté mon anniversaire il y a quelques jours et j’ai justement reçu (ce n’est pas vraiment un hasard, j’en parlais depuis un moment) un Kobo. Kobo, c’est la marque de liseuse à laquelle la Fnac s’est associée après l’échec cuisant du FnacReader qui marquait sa première incursion dans le monde de l’e-book.

La liseuse Kobo by FnacAprès une heure de manipulation et mes premières consultations de livres électroniques, j’avoue être séduit et bluffé. J’avais déjà eu un Kindle entre les mains, mais je ne serai pas capable de dire si le Kobo est meilleur. En tout cas son écran tactile m’a bien plu.
Bref, je ne suis pas là non plus pour faire un test-produit du Kobo, mais pour parler de son nom. C’est quoi ce nom de marque ? Quand on sait ce qu’est un hobbo en anglais (un clochard), on peut déjà écarter le jeu de mot fondé sur la paronomase. J’avoue m’être un peu cassé la tête pour trouver la raison de ce choix (je ne suis pas toujours très rapide, je le reconnais) : Kobo est… un anagramme de book, qui a aussi le mérite de former un mot aux consonances mignonnes neutre (sans genre déterminé) et propre à être utilisé comme un nom commun (« Hey ! Tu me prêtes ton kobo ? »)

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