Certains jeux de mots et calembours coûtent malheureusement très cher à leurs auteurs. Dernier exemple en date : l’incendie, probablement volontaire, des bureaux de Charlie Hebdo la nuit dernière, alors que l’hebdo satirique sort aujourd’hui une couverture volontairement provocatrice, illustrée d’une caricature de Mahomet. Le journal en profitait aussi d’ailleurs pour se rebaptiser, via un calembour qui est sa marque de fabrique : Charia hebdo. Sans oublier d’égratigner les intégristes catholiques en haut de page…
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